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Vivre avec la fibrose kystique

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Pour fonder une famille, que reste-t-il comme option?

30 décembre 2015

Je n’ai pas envie d’envisager l’option d’acheter des ovules ou du sperme. J’aimerais tellement dépenser cette somme d’argent pour combler les besoins d’un enfant bien vivant, qui en a déjà besoin, au lieu de la dépenser pour peut-être me permettre de porter un enfant. Ce sont mes valeurs, chaque couple a les siennes. Personnellement, je ne voulais pas investir 7000$ dans un si petit espoir. Et tant qu’à payer pour un enfant qui ne sera pas de moi, je préfère me tourner vers l’option de l’adoption. De toute manière, dans l’attente de ma FIV #3, j’ai besoin de m’occuper, d’avoir l’impression que je poursuis mes démarches, que mon projet avance.

Ça faisait déjà un petit bout de temps que j’avais commencé à voir ce qui se faisait au niveau de l’adoption internationale. À ce sujet, je vous conseille d’aller consulter le site internet du gouvernement http://www.adoption.gouv.qc.ca où sont présentés tous les pays ouverts à l’adoption en temps réel.

Je me suis monté un cahier, où j’écrivais le résultat de mes recherches par pays. Je notais ceux où nous respections les critères, et les démarches à faire pour chacun de ces pays.Je me suis vite butée à 2 contraintes. L’âge de chéri (la majorité des pays demandent que l’on ait au moins 30 ans et chéri ne les aura pas avant encore deux ans) et la FK, bien sûr… Cependant, j’avais peut être des chances, puisque chaque pays demande un certificat médical qui lui est propre. Parfois, dans ce type de certificat, on ne spécifie que quelques maladies. Ou je me disais qu’il était possible qu’on évalue mon état assez stable pour adopter.

Mes premières démarches me mènent vers l’organisme Enfants d’Orient et d’Occident Adoption et Parrainage du Québec Inc. Cet organisme fonctionne par liste d’intérêt. C’est-à-dire que pendant une courte période, une semaine, par exemple, ils ouvrent leur liste. Tous les couples respectant les critères d’admissibilité peuvent soumettre leur candidature. Suite à la fermeture de la période d’inscription, ils procèdent au tirage d’un nombre X de couples qui seront gardés dans leur banque d’intérêt. J’ai soumis notre nom pour l’adoption en Thaïlande. Une liste d’intérêt s’était ouverte pendant que je faisais mes recherches.  La question : « Êtes-vous tous les deux en excellente santé? » était posée. Bah, c’est tellement subjectif comme question ! Ma réponse : oui ! (on verra plus tard!). Et il n’y avait pas de restriction sur l’âge.  Sur les 104 inscriptions reçues en 5 jours, ils ont pigé 50 couples classés dans l’ordre auquel ils ont été pigés. Une dizaine d’enfants seront placés en adoption au cours des deux prochaines années chez l’un ou l’autre de ces 50 couples. Ils en gardent autant car plusieurs ne respectent pas les critères d’admissibilité après une évaluation plus poussée. Nous avons été les 47e à être pigés. Faible espoir, mais espoir tout de même. Reste à attendre la suite. (Au moment où j’écris ces lignes,  8 mois plus tard, je n’ai toujours pas eu de nouvelles…  Peut-être n’ont-t-ils pas aimé ma réponse, sur le 2e formulaire, à la fameuse question sur notre santé : « Est-ce qu’il vous est possible de nous appeler, pour qu’on en discute ? »).

Mais bon, je ne suis pas du genre à mettre tous mes œufs dans le même panier…

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